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Chapitre 02 - Concepts et résultats de la théorie proposée

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La théorie qui est proposée dans cet ouvrage remet en cause certains principes de la physique moderne et en propose de nouveaux, ou remet d’actualité des concepts qui ont été abandonnés.

 

Les principaux fondements et résultats proposés par cette théorie sont les suivants :

  • les notions fondamentales sont les notions d’espace et de mouvement ;

  • la notion de temps n’est pas un concept fondamental mais déduit des concepts d’espace et de mouvement. Cependant, ce concept est incontournable car très pratique et sera utilisé dans la théorie développée dans cet ouvrage ;

  • à chaque instant, le présent est la seule vérité physique et cela est valable pour l’Univers entier, c’est-à-dire que l’instant présent est le même quel que soit l’endroit considéré dans l’Univers ;

  • ce qu’on appelle « horloge » fait partie d’un sous-ensemble des phénomènes physiques que sont les phénomènes périodiques (par exemple la rotation de la Terre autour du Soleil ou une horloge atomique). Les phénomènes périodiques, comme tous les phénomènes physiques, sont soumis aux effets de la gravitation et de leur vitesse propre par rapport au Référentiel Privilégié défini par le champ de créatons. Ainsi, lorsque deux horloges atomiques sont soumises à des vitesses différentes ou des champs de gravitation différents, ce n’est pas le Temps lui-même qui s’écoule de façon différente pour les deux horloges mais ce sont les horloges elles-mêmes qui sont perturbées physiquement par la vitesse et le champ de gravitation qui modifient leur période ;

  • l’éther existe mais il est préférable de ne plus l’appeler de cette façon car, depuis le début du XXe siècle, ce terme a une connotation négative. Le nouvel éther sera appelé : OMNIUM ou champ de créatons où les créatons sont des « entités » très ténues parcourant l’Univers dans toutes les directions à des vitesses supra-luminiques ;

  • les propriétés réelles du champ de créatons sont très différentes de celles qui étaient couramment attribuées à l’éther à la fin du XIXe siècle. La plus importante était l’immobilité de l’éther dans lequel « baignaient » les planètes et les étoiles. Dans la théorie proposée, bien loin d’être immobile, le champ de créatons est constitué d’un nombre immensément grand de créatons de vitesses bien supérieures à la vitesse de la lumière ;

  • l’éther gravitationnel et l’éther luminifère n’en font qu’un : le champ de créatons (l’éther gravitationnel sert à expliquer la gravitation et l’éther luminifère est le milieu de propagation de la lumière) ;

  • le champ de créatons est la cause réelle de la gravitation ;

  • le champ de créatons est le milieu de propagation de la lumière ;

  • la matière est constituée de vortex-matière, c’est-à-dire de tourbillons de créatons ;

  • la lumière (les photons) et plus généralement les ondes électromagnétiques sont constituées de vortex-lumière qui sont également des tourbillons de créatons ;

  • les vortex sont fondamentalement des ondes dont la vitesse de propagation est celle de la lumière par rapport au champ de créatons ;

  • TOUS les vortex sont continuellement renouvelés par de nouveaux créatons. Dans le même laps de temps, de nouveaux créatons sont absorbés par les vortex qui réémettent la même quantité de créatons ;

  • la nature fondamentale de la lumière est une ONDE. Le déplacement d’un photon dans l’espace peut être assimilé à la propagation d’un groupe de vagues à la surface de l’océan, sans cesse renouvelées par de nouvelles molécules d’eau et pouvant transmettre leur énergie en percutant une jetée tout comme le photon constitué de vortex-lumière est sans cesse renouvelé par de nouveaux créatons et peut transmettre son énergie en percutant l’atome d’un métal (comme par exemple dans l’effet photo-électrique). Le photon possède bien un milieu de propagation : le champ de créatons ;

  • cette vision du photon considéré fondamentalement comme une onde permet de lever ce qui est vu par l’auteur comme une incohérence : le photon vu comme une particule mais qui ne peut se déplacer qu’à une vitesse unique (la vitesse de la lumière) ce qui est en fait la caractéristique d’une onde ;

  • l’énergie du photon n’est pas répartie uniformément dans l’espace occupé par lui, mais est concentrée en des zones régulièrement espacées. Le photon peut être modélisé par des files de vortex-lumière régulièrement espacés d’une moitié ou d’un quart de longueur d’onde.

 

  • la théorie des créatons propose trois types de référentiel :

    • le référentiel absolu : c’est un référentiel purement mathématique et imaginaire correspondant à un Univers exempt de toute matière et de toute radiation-onde électromagnétique, c’est-à-dire exempt de vortex-matière et de vortex-lumière. De plus, l’Univers est considéré infini et uniforme donc sans phénomène d’expansion. Cet Univers ne serait constitué que d’un champ uniforme de créatons ;

    • le Référentiel Lumière-Créatons ou Référentiel Privilégié : ce « pseudo-référentiel » est lié au champ de créatons (chaque point M appartenant au référentiel à un instant t est tel que la MOYENNE des VECTEURS VITESSE des créatons se trouvant dans le volume élémentaire englobant le point M à l’instant t EST NULLE). Ce référentiel est lié à l’Univers réel, c’est-à-dire possédant matière et rayonnement ;

    • les référentiels matière : ces référentiels correspondent à ceux de la Relativité restreinte c’est-à-dire les référentiels possédant horloges et règles matérielles (qui subissent dilatation des durées et compression des longueurs) et qui nécessitent la transformation de Lorentz pour passer de l’un à l’autre.

 

  • Tout corps massif crée un champ d’accélération centripète dû au champ de créatons dont l’expression est  et :

    • la lumière subit directement et pleinement ce champ d’accélération de telle sorte qu’un rayon lumineux est dévié de  par un corps massif. De plus, la nature d’un photon composé de plusieurs sous-entités régulièrement espacées explique le décalage en fréquence que subit un photon en s’éloignant ou en s’approchant d’un corps massif selon la formule

    • la nature de la matière fait que l’accélération subie par elle s’exprime de la façon suivante : . Nous verrons dans cet ouvrage l’expression de e ;

 

  • la force forte qui explique la cohésion du noyau atomique est due elle aussi à l’action du champ de créatons. On retrouve une expression similaire à celle de la gravitation mais avec une constante K beaucoup plus élevée que la constante de gravitation (environ 10^38 fois plus élevée). Cela serait dû principalement au fait que les nucléons auraient des axes privilégiés d’émission des créatons. La force exercée en des points spatiaux situés en dehors des axes d’émission serait énorme car l’action des créatons incidents, provenant du champ de créatons, ne serait pratiquement pas compensée par d’autres créatons émis par le nucléon. Ce serait le corps attiré qui, trop proche du nucléon, ne subissant plus un champ omnidirectionnel de créatons assurant sa cohésion, émettrait un nombre important de créatons le repoussant du nucléon. Ce serait le cas des électrons qui subiraient alternativement à une fréquence très élevée une forte attraction, puis une forte répulsion de la part du noyau atomique tout en tournoyant autour de lui ;

  • la force forte serait en fait une force fondamentale, la force gravitationnelle n’étant qu’une force résiduelle résultant de la somme de toutes les forces fortes dues à tous les atomes composant le corps attirant ;

  • la lumière subit les effets de la force forte de façon similaire à la force gravitationnelle. Ainsi la lumière est déviée par un noyau atomique, comme elle est déviée par un corps massif, comme le Soleil, mais avec une valeur de déviation beaucoup plus importante sachant que la constante de la force forte K est environ 1038 fois plus importante que la constante gravitationnelle ;

  • cet effet de déviation de la lumière explique le phénomène de diffraction. Il est également à la base de l’explication des interférences obtenues en envoyant des photons un par un à travers les fentes de Young, l’autre élément de l’explication étant qu’un photon est composé de plusieurs files de vortex espacées d’une demi-longueur d’onde ;

  • l’intrication qui existe entre deux photons est également due au champ de créatons qui se déplacent à des vitesses bien supérieures à celle de la lumière. Le premier photon, une fois polarisé, modifie les créatons dans son voisinage qui voyagent jusqu’au second photon et modifient sa polarisation. La vitesse à laquelle le second photon intriqué « apprend » quelle polarisation possède le premier photon n’est pas infinie, mais correspond à celle des créatons. L’utilisation du verbe « apprendre » n’est pas anodine. On essaye de contourner la stupéfiante instantanéité de la polarisation du second photon (« spooky action at a distance » selon les propres termes d’Einstein) en disant que la mesure de la polarisation du premier photon est aléatoire et donc qu’aucune information n’est envoyée au second photon. Effectivement, l’Homme ne peut pas utiliser ce phénomène physique pour transmettre de l’information. En revanche, le premier photon, dont la polarisation est mesurée, envoie sans nul doute « une information » à son frère jumeau qui détermine sa polarisation. Dans la théorie proposée, le premier photon influe sur le champ de créatons qui influe à son tour sur le second photon.

 

La théorie des créatons, des vortex et des ondes quantifiées apporte de nombreux concepts, interprétations ou idées nouvelles :

  • sur la simultanéité ;

  • sur la nature du temps ;

  • sur la composition classique des vitesses appliquée aux vortex-lumière et qui explique l’effet Doppler relativiste ;

  • sur le résultat nul de l’expérience de Morley-Michelson ;

  • sur la nature d’un photon composé de files de vortex-lumière ;

  • sur la nature d’une particule matérielle composée de files de vortex-matière ;

  • sur la nature de la matière en expliquant de façon détaillée d’où vient la contraction des longueurs et la dilatation des durées à partir d’une file de vortex-matière ;

  • sur la signification de la longueur d’onde de Louis de Broglie qui est celle d’une onde quantifiée réelle ;

  • sur la nature de l’OMNIUM qui est le milieu de propagation de la lumière ;

  • sur la notion d’inertie (force d’inertie, force centrifuge) ;

  • sur le décalage en fréquence d’un photon soumis à un champ de gravitation ;

  • sur la force forte qui explique la diffraction de la lumière. La gravitation ne serait qu’une force résiduelle résultant de la somme de toutes les forces fortes dues à tous les atomes composant un corps ;

  • sur l’obtention d’interférences en émettant des photons un par un à travers des fentes de Young ;

  • sur l’explication physique profonde de l’intrication de deux photons ;

  • sur le modèle de l’atome ;

  • sur la nature de la masse ;

  • sur la nature de la charge ;

  • sur la nature profonde de l’énergie noire et de l’énergie du vide.

 

Cependant, la force de la théorie des créatons et des vortex réside certainement dans son potentiel d’unité et d’unification.

L’unité apportée par la théorie est due au fait que les créatons sont à la source des champs, de la lumière et de la matière :

  • CHAMPS : champ de créatons standards (gravitation), champs de créatons-spins (électromagnétisme) ;

  • LUMIÈRE : files de vortex-lumière ;

  • MATIÈRE : files de vortex-matière.

 

L’unification apportée par la théorie est due au fait que :

  • le champ de créatons est à l’origine de la gravitation (« éther gravitationnel ») ;

  • le champ de créatons est le milieu de propagation de la lumière appelé OMNIUM (« éther luminifère ») ;

  • le champ de créatons est l’équivalent de l’espace-temps de la relativité restreinte et générale ;

  • l’énergie du vide et l’énergie noire représentent l’énergie du champ de créatons ;

  • le champ de créatons est la réalité physique « au-delà de la matière », le niveau sous-jacent proposé par Einstein permettant une description plus détaillée, à une échelle plus fine, du monde physique et dont la mécanique quantique donne une description probabiliste ou statistique.

 

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