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Chapitre 10 - Présentation des vortex

Les créatons, comme des vents tourbillonnants dans tous les sens, donnent lieu à des « vortex » sorte d’agglomérats de créatons prenant la forme de tourbillons, de tornades à une échelle subatomique.

Le vortex serait la brique de base de la matière qui se propagerait comme une onde à la vitesse de la lumière.

Le fonctionnement d’un vortex est un peu comparable à celui d’une vague qui progresse. Le vortex absorbe en moyenne autant de créatons qu’il en rejette. Il est ainsi sans cesse renouvelé par de nouveaux créatons, même si, comme la vague, il donne l’apparence, l’illusion d’une même entité en mouvement, déformable, toujours composée des mêmes constituants.

Cela expliquerait qu’un vortex, comme la vague, peut être vu comme un corpuscule mais est fondamentalement une onde.

On peut modéliser un vortex par un cylindre en rotation d’une certaine épaisseur qui absorberait les créatons arrivant par sa surface cylindrique et réémettrait les créatons par les deux bases avec pour chacune des directions comprises dans un cône d’axe celui du vortex. Pendant la durée où ils font partie du vortex, les créatons perdent de leur énergie cinétique de translation et leur énergie cinétique de rotation augmente dans la même mesure. Les créatons sortent du vortex en ayant été transformés en « créatons-spins ».

 

Il est considéré que le « champ de créatons » constitue le milieu de propagation des vortex.

Un vortex seul ou « libre » se déplace spontanément à la vitesse de la lumière dans le « champ de créatons » quelle que soit sa direction de propagation, de façon similaire à une ondelette se propageant à la surface d’un volume d’eau qui a subi une perturbation.

 

Toutes les particules de l’Univers seraient constituées de vortex. Une particule serait un édifice, arrangement complexe et bien ordonné de vortex maintenus par le « champ de créatons » lui-même. Les vortex, sorte d’agglomérats de créatons, font un effet d’écran aux créatons les uns par rapport aux autres qui permet de maintenir la structure de la particule.

Cela expliquerait qu’une particule de matière, comme la vague, peut être vue comme un corpuscule mais est fondamentalement une onde car composée de vortex sans cesse renouvelés.

 

Les créatons provenant du champ de créatons et qui créent le vortex sont absorbés par le vortex au niveau de la surface du cylindre (surface imaginaire délimitant le vortex).

Après avoir perdu de l’énergie cinétique de translation et gagné une énergie cinétique de rotation équivalente, les créatons sont réémis par le vortex par les bases du cylindre selon des directions proches de l’axe du cylindre (toutes les directions sont comprises dans un cône de même axe que celui du cylindre).

Il est supposé que tous les créatons-spins émis par le même vortex ont le même sens de rotation et que l’axe de cette rotation est le même que celui de l’axe du cylindre.

 

Dans la présente théorie, il est proposé que ce soient les créatons-spins qui créent le champ électrique :

  • si les créatons-spins tournent dans le sens trigonométrique par rapport à l’axe du cylindre qui serait orienté « du bas vers le haut », le champ électrique  sera également orienté « du bas vers le haut » ;

  • si les créatons-spins tournent dans le sens des aiguilles d’une montre par rapport à l’axe du cylindre qui serait orienté « du bas vers le haut », le champ électrique  sera orienté « du haut vers le bas ».

 

Cette génération du champ électrique sera utilisée pour expliquer :

  • la polarisation d’un photon ;

  • le champ électrique d’un électron ;

  • la mesure de polarisation de deux photons intriqués dans l’effet EPR.

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